Le nombre total de boules est n + (8 + n) + 20 = 28 + 2n.
1. Notons , et
les probabilités de tirer une noire, une blanche et une rouge respectivement.
Puisque les tirages sont avec remise, ces probabilités sont indépendantes du numéro (premier ou second ) du tirage.
Pour gagner, il faut avoir tiré une noire au premier tirage (probabilité ) ou avoir tiré une blanche au premier tirage et une noire au second tirage (probabilité
).
Donc la probabilité de gagner est .
2. a. Etudions d’abord les variations de f.
f est continue et dérivable sur et
. Voici son tableau de variations.
On y voit nettement que f atteint un maximum égal à
au point 16 (qui est heureusement un entier).
Pour que cette probabilité soit maximale, il faut donc et il suffit que n = 16 et cette probabilité vaut .
b. La restriction de f à atteint un minimum égal à
au point 1.
Pour que cette probabilité soit minimale, il faut donc et il suffit que n = 1 et cette probabilité vaut .
Quand x tend vers , f(x) tend vers
mais cette valeur n’est pas atteinte par f dans l’intervalle
3. a. X prend les valeurs et
avec les probabilités
L’espérance mathématique de X est
b. La nullité de l’espérance mathématique signifie donc 3p + q = 60.
Le couple est une solution "particulière" de l’équation diophantienne 3p + q = 60. La solution générale de cette équation est donc
et
Les contraintes supplémentaires sur p et q deviennent - k+ 20 > 3k > 8 c’est à dire
k vaut donc 3 ou 4 et les couples (p, q) possibles sont (17, 9) et (16, 12).
4. Pour p = 16 et q = 12, on sait d’après ce qui précède que l’espérance mathématique est nulle.
La variance vaut alors
Et l’écart type vaut
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