1) Les autogreffes ne sont pas rejetées car deux vrais jumeaux possèdent les mêmes gènes qui vont former les mêmes types de marqueurs membranaires de l’identité biologique (CMH). Ceux-ci sont considérés comme des molécules du soi par l’organisme receveur.
2) Graphique 3) Analysons l’histogramme obtenu. Cet histogramme présente la variation du nombre de cas de rejet en fonction des durées de survie en jours. De 0 à 5 jours le nombre de rejets est nul. Entre le 7e et le 13e jours nous avons les nombres les plus élevés de rejets avec des valeurs assez importantes aux 7e, 8e (16 cas) et 10e jours. Après le 13ejour, peu de cas de rejets sont enregistrés.
Nous pouvons conclure que :
4)- a) On peut distinguer deux groupes de types de greffons : - groupe I : ABR- PAC- CAS avec une survie de 9 jours.
b) La durée de survie du greffon de type « NIG »s’expliquerait par l’existence d’une mémoire immunitaire. En effet, il s’agit d’une réponse secondaire plus rapide que la première.
5) Les résultats du document trois présentent les durées de vie du greffon de type « MAT » chez différents receveurs. Nous constatons qu’il y a des receveurs qui présentent les mêmes durées de survie du greffon de type « MAT » :
Nous pouvons alors dire que « REN » et « NEW » d’une part et « GOU » et « OBR » d’autre part ont des marqueurs de l’identité communs ; ils seraient aussi rejetés par un receveur au bout d’un même délai.
6) a) La réussite de la xénogreffe pourrait s’expliquer par l’absence de thymus.
b) On peut procéder de la manière suivante :
- On fait une greffe de peau de rats à des souris sauvages : Il y aura un rejet (expérience témoin)
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