1. a. La fonction f est continue et d´erivable sur et
et
.
La dérivée est donc strictement positive dans .
Voici le tableau de variation de f.
T.V de
et voici la courbe ainsi que les quatre premiers termes de la suite sur le graphique.
b. La fonction l est continue et dérivable sur et
Lorsque x tend vers , nous sommes en présence d’une indétermination de la forme
” ”, mais on peut écrire :
.
Lorsque x tend vers , a pour limite 0 ; donc a pour limite -1. Par conséquent .
Voici le tableau de variation de l.
T.V de
La fonction l étant continue et strictement décroissante dans , réalise une bijection de I dans ; et puisque le réel 0 appartient `a J, il a dans l’intervalle I un seul antécédent par l, autrement dit, l’équation l(x) = 0 a dans I une solution unique
.
Ce est alors l’unique élèment de I tel que .
2. a. Voir graphique.
b. La fonction f étant continue et strictement croissante dans , réalise une
bijection de I dans ; et puisque est > 2, f(I) est contenu dans I.
Démontrons maintenant par récurrence la propriété : avec
- Initialisation : , donnée de l’énoncé. Donc et est vrai.
- Héritage : Supposons la propriété vérifiée jusqu’à un rang n, en particulier Pn vrai (c’est à dire ou et montrons que est vrai.
c. ; donc .
Conclusion .
d. Soit . Les réels et appartiennent à , intervalle dans lequel ,
on peut donc appliquer l’inégalité des accroissements finis au couple :
c’est à dire , puisque
;
Posons ; la relation précédente devient alors (1).
Si au lieu de ”” on avait ”=”, la suite dn serait une suite géométrique et on pourrait immédiatement écrire
. C’est pourquoi d’aucuns disent d’une suite vérifant (1) qu’elle est sous-géométrique.
Utilisons la même méthode : donnons à n toutes les valeurs entières possibles entre 0 et p, p entier ; multiplions ensuite membre à membre (Nous sommes en droit de le faire par ce que nous manipulons des nombres positifs). Il vient :
et en simplifiant 2 par
c’est à dire (tout en remplaçant p par n)
(2)
est positif, est négatif, donc d’après le théorème des valeurs intermédiaires, est compris entre 2 et 3.
Puisque , on en déduit que et la relation (2) entraîne :
Cette dernière relation s’écrit aussi :
En remarquant que , on conclut par le théorème des gendarmes que
,soit c’est à dire enfin .
e. La relation s’écrit
Donc pour qu’un entier n vérifie, il suffit que
.
Cette relation est équivalente à : c’est `a dire
ou finalement .
Le plus petit entier vérifiant cette relation est
c’est `a dire .
1. Elle a une racine double égale à -1. Par conséquent la solution générale de est :
; a et b réels arbitraires.
2. Pour que la fonction soit solution de ) il faut et il suffit que
(1)
Or et . Donc l’équation devient :
c’est `a dire ou . Donc et . Finalement
3. - Soit g une solution de (E') c’est `a dire une fonction telle que :
(2)
En faisant la différence membre à membre de (2) et (1) on trouve :
c’est `a dire (3)
Ce qui montre que la fonction g - h est solution de (E).
- Réciproquement g - h est solution de (E) est équivalent à (3) soit à :
(4)
Or d’après (1) le second membre de cette relation vaut x + 3. donc (4) est équivalent à
Autrement dit g est solution de (E').
4. La fonction k est continue sur son ensemble de définition qui est égal à ; de plus
et
s’annule au point -1 et est > 0 si et seulement si c’est à dire .
Pour que le point soit un point d’inflexion de la courbe il suffit que k soit deux fois dérivable et qu’au point 0, ”s’annule en changeant de signe”.
Cela est bien le cas puisque s’annule au point 0, est > 0 ”après 0” et négatif ”avant 0”.
Voici le tableau de variations de k.
T.V de
et voici la courbe représentative de k
I.
Soit le domaine de définition de la fonction f,
car pour tout .
1)
2) est dérivable sur comme puissance d'une fonction dérivable sur
D'où par produit est dérivable sur
dérivable sur et pour tout réel; par quotient dérivable sur
Calculons f'(x)
3) f continue et strictement croissante sur donc f réalise un e bijection continue de sur et
donc d'après le corollaire du théorème des valeurs intermédiaires l'équaiton f(x) = 1 admet un solution unique
Montrons
La restriction de f à [3 ; 4] est une bijectio continue et f(3) < 1 < f(4) donc l'équation f(x) = 1 admet une solution
II.
1)a) g(x) existe si et seulement
or
D'où
b)
en posant h(x) = ln|x|
on a
c)
soit donc stable par passage à l'opposé)
g(-x) = f(h(-x)) or h paire
d'où
III 1) c) Aussi g est paire sur Dg
d)
x >0 donc h(x) = lnx or k(x) = f(h(x))
et
Par composée
et
Par composée
Etude des brances infinies en
Pour x > 0 lnx
donc admet en k une branche parabolique de direction celle de l'axe des abscisses.
2) a) on a k(x) = (f o h)(x)
En utilisant la forme de la dérivation d'une forme composéé on obtient :
;
k'(x)garde un signe positif sur mais k'(x) s'annule en s vérifiant lnx-1=0u lnx+1=0
x=e ou
b)
coupe l'axe des abscisses en A(e,0)
Si
Si
Si
3) a) K est continue et strictementcroissante sur par composée de deux fonctions continue et strictement croissante.
D'où K réalise une bijection de sur
D'où sur
Donc
1.a) g(x) existe si avec
b)
2. et sont dérivable pour tout d'où g est désrivable sur et
Sur
Tableau de variation de g :
3. a) Sur , g est dérivable et strictement décroissante donc elle réalise une bijection de vers
Or il existe donc tel que
Montrons que .
et
donc .
4. Sur et sur
PARTIE B.
Soit
1.a) est définie si et ,
d'où elle est déffinie sur .
est définie pour tout ,
d'où elle est définie su .
Donc
b) La droite d’équation x = 1 est une asymptote verticale à la courbe
de f et la droite d’équation y = 0 est une asymptote hori-
zontale à la courbe de f aux voisinages de et
2) a)
On a aussi
Donc f est continue en 0
b) On admet que .
Et on a
Or d'où .
et d'où admet deux demi-tangentes au point d'abcisse 0.
3) a) or nous donne
d'où .
b) Sur
Sur
Sur
Sur
Dressons le tableau de variation de la fonction f.
4. Traçons la courbe de f dans un repère orthonormé d'unité graphique 2 cm
5) a) nous donne a = -12 et b = 6
d'où
b) D'après a)
D'où
c) Soit A l’aire du domaine délimité par l’axe des abscisses, la courbe, les droites d’équations x = -ln2 et x = 0.
d'où
PARTIE A.
1. Soit or et
donc
En conclusion
2.
(a) continue sur ,
d’où (1 - ln x) est continue sur ]0; +8[ par somme.
or est continue sur d’où par produit est continue sur .
(b)
est dérivable sur , donc elles est dérivable sur
et est dérivable sur par produit,
donc K est dérivable sur par somme.
Calcul de K'(x)
d'où k'(x)=k(x)
PARTIE B.
Soit f(x) = (1)
1. si alors existe t si x > 0 alors xlnx exite d'où
f(x) existe sssi
,
or
d'où
2.(a) f est définie en 0 car dans et est définie en 0 et prend la valeur 0 on a alors f(x) = 0
et ,
d'où
Ainsi f est continue en 0
(b) d'après la partie A.
Donc f n’est pas dérivable en 0 car ne l’étant pas en 0 à droite.
Interprétation graphique : La courbe représentative de f, ,
admet au point d’abscisse 0 une demi-tangente d’équation x = 0
à gauche et une demi-tangente d’équation y = 0 à droite.
3. et sont continues sur
donc sur ,
continue sur par produit et f est continue en 0, donc f est continue sur .
et sont dérivables sur donc sur ,
dérivable sur [ par produit
donc f est dérivable sur .
4. Pour or si x < 0 alors
d'où f'(x) < 0 pour x< 0.
Pour x>0, or si et
si
d'où pour et pour
5. Dressons son tableau de variations.
6. d'où
donc est asymptote à au voisinage de .
7. donc admet une branche infinie au voisinage de or
donc admet une branche parabolique de direction (y'0y)au voisinage de
8. Traçons la courbe de f dans un repère orthonormé d'unité graphique 2 cm
9. Soit h la restriction de f à .
Dressons le tableau de variation de h.
h est continue et strictement croissante sur donc elle est bijective. Elle réaliseune bijection de vers d'après le tableau de variations de f.
(b) Pour la courbe de ,bijection réciproque de h, voir figure.
10. (a) Ce domaine est l'endemble des points M(x,y) tels que
et On a donc :
d'après la PARTIE A.
(b) Ce domaine est le symétrique, par rapport à la première bissectrice, du domaine d'aire de la question 10)a) d'où
EXAMEN.SN V2.0 © RESAFAD SENEGAL - Avenue Bourguiba x rue 14 Castors, Dakar (Sénégal) - Tél/Fax : +221 33864 62 33